C’est l’articulation entre la vertèbre la plus basse et le plateau sacré.
Le disque intervertébral est épais. Il est plus mince en arrière qu’en avant, forme que l’on retrouve au niveau du corps vertébral.
Cette forme est propice à l’extension.
En pratique, nous nous trouvons ici devant une charnière hyper mobile en extension et construite par la forme de son disque et de son corps vertébral, en lordose.
C’est sur cette zone que se situe le maximum d’amplitude d’extension. Au point, qu’il y aura lieu d’apprendre à la protéger dans les postures de yoga (demi-pont, cobra, arc….) mais y être aussi sensible et vigilant dans la vie quotidienne car c’est ce disque qui est le plus menacé car c’est lui qui reçoit le plus de charges.
Comment? En répartissant le plus possible l’extension sur les vertèbres au-dessus et en freinant l’extension sur ce niveau par un travail des muscles convexitaires : les grands droits et les grands fessiers.
Il est aussi intéressant d’explorer les extensions en décharge (exemple du demi-pont avec brique sous le bassin).